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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
9 >
Issue: 1
Mieczysław A. Keąpiec
Mieczysław A. Keąpiec
La Base de la Classification des Types de Science et de Connaissance
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L’article se compose de trois parties. Dans la premiére l’auteur attire l’attention sur la division de la connaissance humaine selon ses trois objets essentiels: le speculabile, l'agibile, le factibile. La connaissance scientifique en tout que celle qui découvre (les rapports de nécessité relative dans la chose) se situe dans les limites de l’objet du speculabile. Remarquons que c’est seulement dans ce type de connaissance qu’on peut parier de l’état préscientifique et de l’état scientifique. Le type de connaissance agibile, lorsqu’il se présente sous sa forme pure, constitue le domaine de la morale de l’homme concret, tandis que factibile concerne le domaine de la création. Si cependant l'agibile et le factibile sont interprétés par les données de la connaissance scientifique (speculabile) nous avons affaire, dans le premier cas, à différents types d’éthiques et d’éthologies, dans le second à des disciplines techniques.Dans la deuxième partie de l’article on parle de la division tripartite des sciences (speculabile). Selon S. Thomas qui suivait en cela Aristote, à cette division tripartite correspondaient les trois degrés de l’abstraction et eile se rapportait, en principe, à la philosophie. Le point de vue de S. Thomas subsiste encore aujourd’hui, sous une forme terminologique légèrement modifiée; d’après lui les sciences sont divisées en disciplines positives, formelles et philosophiques. Les disciplines - positives remplissent les conditions que l’on posait au premier degré de l'abstraction. Les disciplines formelles (esssentiellement la logique et les mathématiques remplissent les conditions du deuxéme degré et la philosophie celles du „troisiéme degré“ de l'abstraction, c’est-à-dire de la séparation. Aujourd’hui l'ourd’hui ensemble de la philosophie comporte une unité méthodologique qui lui manquait à l’époque d’Aristote et de S. Thomas ou les disciplines que nous considérons comme non-philosophiques, faisaient partie de la philosophie. Le développemen't des disciplines particulières et leur particulairisation ultérieure se font grâce à l'utilisation de méthodes distinctes de définition c’est-à-dire de construction des notions fondamentales du système.Aux trois types de disciplines — positives, formelles et philosopbiques — correspond la méthode que S. Thomas caractérise d’une façon générale dans ln Boethinm de Trinitate q. 6 a. 1: modus rationalis, disciplina- Hs, int eile ciualis. C’est pourquoi l’opuscule de S. Thomas constitue encore de nos jours une valeur méthodologique durable.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
Czesław Wojtkiewicz
Czesław Wojtkiewicz
L'objet de la Logique Chez Jean de S. Thomas
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L’auteur de l'article confronte la conception de l’objet de la logique chez Jean de S. Thomas avec les conceptions les plus typiques. La confrontation est précédée d’un essai de classification de ces conceptions du point de vue de l’espèce d’entité que la conception donnée attribue a l'objet formet de la logique. A la suite de l’analyse de ce qu’on appelle les secondes intentions (qui constituent l'objet formel de la logique), il appert que dans la conception en question l'objet formel de la logique ne se trouve ni parmi les êtres réels ni parmi les abstractions simples („premières“) de l’intellect. D’autre part, cet objet ne relève pas des constructions de l’esprit, privèes de tout caractère réel. Les secondes intentions sont considerees par Jean de S. Thomas comme une sorte d’ „expresion“ du mode réel dont se realise la connaissance de la réalité par l'intellect humain.
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Issue: 1
Stanisław Kamiński
Stanisław Kamiński
La Logique Contemporaine et la Philosophie
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L’article présente, en premier lieu, l’historique des rapports existant entre la logique et la philosophie. En envisageant ces rapports, on se demandait surtout si la logique constitue une pantie de la philosophie ou bien simplemeint un instrument de celle-ci. En second lieu, sont analysées les conceptions actuelles dr la logique formelle et de la philosophic en vue de l’établissement de leurs rapports réciproques. En troisième lieu, l’auteur étudie (d’une manière plus détaillée) les applications typiques de la logique contemporaine à la philosophie classique. II analyse en partioulier les façons d’utiliser la logique formelle, la sémiotique logique et la méthodologie des sciences dans la systématisation de la métaphysique classique et dans la solution des problèmes épistémologiques (dans la théorie de la connaissance). L’article se propose de répondre aux questions suivantes: peut-on appliquer et applique-t-on la logique contemporaine à la philosophie classique, dans quelle mesure et avec quel résultat? Les résultats de ces considérations peuvent se résumer comme suit: 1. les essais d’application directe de la logique à la philosophie ont défiguré cette derinière; 2. étant donné la diversité fondamentale de la nature de la connaissance philosophique et de la connaissance dans les sciences positives, il n’est pas permis de traiter la logique contemiporaine de la langue et la méthodologie contempoiraine des sciences en même temps comme une logique de la langue philosophique at une méthodologie de la philosophie; 3. il faut élaborer, à partir des résultats obtenus par la logique et la méthodologie oontemporaines, une sémiotique et une méthodologie spécif iques pour la philosophie classique.
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Issue: 1
Antoni Stępień
Antoni Stępień
Métaphysique et Ontologie
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L’article analyse la question de savoir s’il est nécessaire d’admettre une discipline philosophique distincte de la métaphysique, notamment l'ontologie. Après une brève introduction historique hauteur s’arrête sur l'opmion de R. Ingarden et sur les données du problème dans le thomisme contemporain. II formule des remarques critiques à l’adresse de R. Ingarden et de sa définition de l’objet de la métaphysique, et il présente les arguments pour et contre l'admission de l’ontologie à côté de la métaphysique dans le thomisme. A la fin hauteur procède à une étude plus serrée de la définition de la métaphysique comme analyse de l'être en tout qu’existant.
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Issue: 1
Stanisław Adamczyk
Stanisław Adamczyk
Part de la Creature dans la Generation Naturelle de l'Existant Substantiel
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Le présent article complète dans une certaine mesure l’étude parue dans le cahier précédent des „Annales Philosophiques“ où rauteur s’est efforcé de démontrer que Dieu seul peut être la cause proprement dite de la génération naturelle de l’existant substantiel. La question se pose done de savoir si la créature n’a aucune fonction causale à remplir dans la génération naturelle de l’existant substantiel. Est-ce que, comme dans le cas de la création, son rôle se réduit (e’est ainsi que le voulaient les occasionalistes) à n’être que l'occasion de la génération?Tout en rejetant l’opinion qui suppnime l'action de créatures proprement dite, S. Thomas n’admet pas non plus le point de vue selon lequel la créature elle-même — en vertu d’une force concédée à la nature — serait la cause efficiente direote d’un nouvel existant substantiel, d’une nouvelle vie sur la terre.Car si Dieu seul peut directement intervenir comme cause efficiente principale (propre) de tout existant substantiel, dans la génération naturelle des choses la créature devient cause efficiente instrumentale lors-qu’elle fait surgie, par son action naturelle, une nouvelle forme substantielle de la puissance de la matière première d’être soumis au changement.Selon S. Thomas à ce moment précis à travers la créature en question, fonctionnant comme instrument, passe la puissance divine qui confère l'existenee à l’être nouvellement préparé. C’est ainsi qu’on peut dire que la créature devient cause eff idente de la chose naissante: de l’essence de celle-ci dans la mesure où par sa propre puissance naturelle eile fait surgir de la puissance de la matière première une nouvelle forme substantielle, — d’une disposition convenable du moins (comme dans le cas de l'entrée de l’âme humaine dans l’existence, — de son existence enfin si eile confere l'existence à l’être nouveau, et ceci en vigueur de la puissance divine qu’elle transmet. C’est dans ce sens précis qu’on peut dire que les parents donnent la vie nouvelle à le-urs enfants.Ainsi done Dieu admet que des êtres créés participent à la production de ce qui est le plus parfait dans toute substance et, par conséquent, le plus précieux. De cette manière il fait preuve de Sa bonté infinie.
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
Grażyna Rosińska
Grażyna Rosińska
Spór o relację transcendentalną
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
Tadeusz Kwiatkowski
Tadeusz Kwiatkowski
Prawo tożsamości u Arystotelesa
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Roczniki Filozoficzne:
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9 >
Issue: 1
Antoni Stępień
Antoni Stępień
Co to jest metafilozofia
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
9 >
Issue: 1
Halina Bortnowska
Halina Bortnowska
Z problematyki metafdlożoficznej u Ducasse‘a
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 1
Bibliografia pozycji z teorii i metodologii metafizyki
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Roczniki Filozoficzne:
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9 >
Issue: 1
Z. Zdybicka
Z. Zdybicka
L’idee de preuve en meta physique
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
T. Styczeń
T. Styczeń
A Modern Introduction to Moral Philosophy
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 1
J. Herbut
J. Herbut
Logique et métalogique. Essai sur la structure et les frontières de la pensée logique
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