Browse by:



Displaying: 21-40 of 310 documents


normes logiques

21. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 11
J.-L. Claparède

abstract | view |  rights & permissions | cited by
La doctrine d’Afriean Spir. Les objets d’expérience ne coïncident pas avec la norme logique. La méthode de réflexion. L’évident de fait et la certitude rationnelle. La nature et l’origine du concept a priori. Son unité. Jugement identique et jugement synthétique. Le principe d’identité comme principe de toute connaissance. Les applications de la pensée fondamentale de Spir dans le domaine de la morale et de la religion. L’importance historique de cette pensée.
22. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 11
Ludwig Landgrebe

abstract | view |  rights & permissions | cited by
On étudie les deux aspects des normes de la connaissance : d’abord, les normes logiques ou universelles ; ensuite, les normes qui varient à la fois selon le but pratique que recherche la connaissance et selon l’espèce d’être qui est son objet, chaque espèce d’être ayant une manière différente d’être « évident ».

normes morales et sociales

23. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 11
Georges Gurvitch

abstract | view |  rights & permissions | cited by
Une des caractéristiques de l’expérience morale immédiate est sa variabilité particulièrement intense, liée à la mobilité créatrice de ses données qui sont disposées en trois paliers de profondeur (devoirs idéaux, valeurs, liberté créatrice). On peut distinguer six aspects fondamentaux de ces variations : 1° variations des données en elles-mêmes ; 2° variations des actes qui les saisissent, indépendantes des variations des données ; 3° variations dans l’actualité des trois couches superposées des données ; 4° variations de l’équilibre mobile entre le mode collectif et le mode individuel de l’expérience morale ; 5° variations dans les rapports entre les données sensibles et les données spirituelles de cette expérience ; 6° variations dans les conjonctions entre les actes de l’expé- îience morale et les intuitions émotives. Ces divers aspects de variétés de l’expérience morale, tout en faisant nettement ressortir l’impossibilité et le vide des métamcrales classiques, détachées d’une liaison étroite avec la science des moeurs, révèlent en même temps la nécessité et les tâches effectives de la morale théorique. Seule, celle-ci peut reconduire par ses analyses vers le vécu immédiat dans ses différents paliers et seule elle est capable de vérifier l’objectivité de ces données infiniment variables et mobiles par leur intégration dans des ensembles infinis.
24. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 11
M. A. Bloch

abstract | view |  rights & permissions | cited by
En dépit de toutes les tentatives qui ont pu être faites de nos joui* pour constituer la morale en discipline positive autonome, l’homme ne se délivre que difficilement des habitudes de pensée qui toujours le portent à s’opposer les normes morales en leur attribuant quelque origine transcendante, Dieu, raison ou société. Un Guyau, un Nietzsche, un Bergson, un Freud participent à cet effort de libération, auquel la morale cartésienne, par certaines de ses directions, pouvait et devait conduire. Que l’homme cesse de se prosterner devant son ombre, qu’il échappe au mysticisme de la Conscience morale, qu’au lieu d’hypostasier la norme morale il la voie surgir de la réalité psychologique de ses tendances, des réactions que celles-ci exercent les unes sur les autres, des conflits qui les opposent : il n’y aura de morale authentiquement « positive » qu’à ces conditions. Elles impliquent, du même coup, une révision profonde des méthodes traditionnelles d’éducation, elles-mêmes liées aux postulats de la morale traditionnelle.
25. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 11
Jules de Gaultier

abstract | view |  rights & permissions | cited by
Moralité : Conditions d’existence. Toute réalité : un antagonisme entre deux tendances d’une même force. L’activité psychique, foyer des deux tendances dont l’antagonisme supporte la moralité. Sensation : ses formes élémentaires, jouir, souffrir. Activité utilitaire, sens possessif ; — ses formes élaborées : perception, contemplation, sens esthétique, pouvoir spirituel de jouir des choses sans les posséder. — Son apparition tardive. Les morales ont emprunté aux religions leur principe spirituel. Carence religieuse. Recours possible au sens esthétique venu à maturité.
26. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 11
J. B. Kozàk

abstract | view |  rights & permissions | cited by
Il y a un conflit entre les normes surnaturelles (Platon, Kant) qui ne tiennent pas compte des possibilités humaines et les normes naturelles qui conduisent à des règles d’action fondées sur la connaissance positive du milieu où nous vivons ; mais il est impossible que les secondes affranchissent l’homme des premières. La question de leur accord se trouve donc posée.
27. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 11
Emmanuel Leroux

abstract | view |  rights & permissions | cited by
Objet de la présente étude. Définition des valeurs éthiques.I. Considération de la conduite individuelle. L’opposition du bien et du mal. Pluralité des valeurs : valeurs corporelles et valeurs spirituelles ; développement personnel et dévouement. Ambiguïté de la notion de valeur morale ; son sens précis. Irréductibilité des valeurs personnelles aux valeurs morales. Réserve possible.II. Considération de l’organisation sociale. Difficulté mais réalité du problème. Le mal dans l’ordre politique. Trois classes de valeurs : valeurs nationales, valeurs de justice, valeurs de culture. Leur caractère irréductible, l’obligation de les harmoniser. Péril couru par les valeurs de culture.Conclusion : Pluralité des valeurs éthiques, non exclusive d’une certaine unité.
28. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 11
Rolf Löhrich

abstract | view |  rights & permissions | cited by
Le problème de la possibilité d’une science des normes ou éthique s’énonce ainsi :1. Y a-t-il des jugements de devoir-être (normes, exigences morales, prescriptions) vrais ou faux ?2. Comment des jugements de devoir-être qui ne peuvent être examinés, c’est-à-dire qui sont non pas vrais, mais obligatoires ou non obligatoires, pourraient-ils être rendus obligatoires ?Réponse à 1 : Les jugements du devoir-être vrais ou faux sont tous ceux que l’on peut considérer comme des moyens pour des fins. Les moyens sont vrais, quand on peut les décrire comme « des causes pour des effets ».Réponse à 2 : Certains jugements de devoir-être qui ne sont pas obligatoires pour certaines fins peuvent être rendus obligatoires par des méthodes déterminées (dont un exemple est « 1’Einkreisung »). Ainsi tous ces jugements peuvent être examinés. Puisque ces fins peuvent toujours être considérés comme des moyens pour d’autres fins, des jugements de devoir-être obligatoires peuvent être transformés en jugements de devoir-être vrais.La science des normes, ainsi obligatoire, doit être considérée comme vraie science des normes, c’est-à-dire comme ensemble systématique de tous les changements exigés de la réalité.
29. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 11
William David Ross

abstract | view |  rights & permissions | cited by
On soutient souvent que le bien moral, l’activité intellectuelle correcte et les plaisirs comme tels sont des biens dans le même sens. Mais la réflexion montre que, tandis que les deux premiers sont des biens au sens de choses à admirer, le plaisir comme tel n’est jamais à admirer, simplement pour son caractère plaisant. Pourtant nous sentons le devoir de produire certains plaisirs qui ne sont pas à admirer, c’est-à-dire qui sont moralement neutres, par exemple des plaisirs des sens pour les autres, et, d’une manière encore plus évidente, le devoir de ne pas produire pour eux des peines des sens, moralement neutres. C’est pourquoi il paraît que, à côté du sens du mot « bien » comme « digne d’admiration », nous devons reconnaître un autre sens, celui de « digne d’intérêt », et qu’il est autant de notre devoir de produire ce qui est bien en ce sens que ce qui est bien dans l’autre sens.
30. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 11
Paul Siwek

abstract | view |  rights & permissions | cited by
Le mot valeur est ici employé au sens de raison formelle du bien ; la valeur ne se définit pas, et elle n’est saisie que par une intuition ; chez l’animal cette intuition repose sur l’affection de plaisir ou de déplaisir liée à la sensation ; grâce à l’intelligence, l’homme saisit le bien comme tel ; est valeur pour lui, tout ce qui favorise l’épanouissement de sa volonté. Au-dessus de ces valeurs relatives à l’animal et à l’homme, se trouve la valeur absolue, simple et pure, qui réside dans une réalité spirituelle, infinie et nécessaire.
31. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 11
M. J. de Blig

abstract | view |  rights & permissions | cited by
Comparé à d’autres types d’impératifs, le Devoir apparaît distinct de la contrainte, capable pourtant de lier la volonté. Il est la condition nécessaire d’une fin à la fois librement et nécessairement voulue. Il n’a pas pour unique objet le service social, et, si sa genèse dans la conscience doit beaucoup au milieu son autorité ne lui vient pas de là, car la fin qu’il conditionne est non l’intérêt du groupe, mais la vie conforme aux exigences de la raison.
32. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 11
George Boas

abstract | view |  rights & permissions | cited by
La distinction radicale qui existe entre les faits et les valeurs pose te problème de l’autorité que celles-ci ont sur nos actes, qui eux sont dans le monde des faits. Si la distinction est absolue, il est évident que la critique des moeurs humaine doit céder la place à la sociologie. Mais s’il y a rapport entre les faits et les valeurs, ne pourrait-on expliquer par la psychologie comment certains actes deviennent des normes ? Trois principes explicatifs se présentent : 1) la nécessité de l’habituel ; 2) la conservation du statu quo ; 3) l’incorporation du statu quo dans les institutions sociales. A l’aide de ces trois principes on pourrait comprendre pourquoi on se conforme à certaines normes et pourquoi nous avons les normes qui nous guident actuellement.
33. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 11
Thomas Givanovitgh

abstract | view |  rights & permissions | cited by
Cette communication introduit un nouvel argument pour prouver la thèse, présentée au Congrès de Prague, de la tripartition ou personnalisme éthique : d’après cette thèse, il faut considérer, dans l’Éthique, outre le fait (moral et immoral) et sa sanction, l’agent moral ou immoral. Le principe de dignité humaine doit empêcher de retourner à la bipartition et d’introduire l’agent (moral ou immoral) dans le fait, comme s’il était partie intégrante de ce fait.
34. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 11
Henri Elzenberg

abstract | view |  rights & permissions | cited by
Il existe, dans la théorie de l’obligation, une tendance qu’on pourrait appeler impérativiste et qui, d’après sa thèse pratiquement la plus importante, consisterait à soutenir que, pour connaître les devoirs humains, le \rai chemin est de connaître certains commandements existant en fait. Cette tendance peut se cristalliser, semble-t-il, en trois théories différentes et incompatibles entre elles. La présente communication se propose de dégager ces trois théories possibles, et d’en faire ensuite la critique. Le résultat de l’analyse, c’est que l’impé- rativisme paraît intenable sous toutes ses fermes.
35. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 11
Gustav Kafka

abstract | view |  rights & permissions | cited by
Le relativisme ; sa signification en politique. La politique scientifique et la science politique ; leur accord sur l’impossibilité d’un critère objectif ; leur divergence sur la nature de ce critère, sur le sujet qui décide de la vérité politique ; le rôle de l’action ; l’homme concret opposé à l’homme théorique ; vérité rationnelle et vérité de fait ; l’irrationalité de l’action ; « sécularisation matérielle » et « sécularisation spirituelle ».
36. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 11
Daniel S. Robinson

abstract | view |  rights & permissions | cited by
On rejette deux théories de la relation de la morale avec la loi : identification de la morale et de la loi ; conception de la loi comme minimum moral. Loi et morale se recouvrent en ce qu’il y a une série de normes dont l’une et l’autre tirent leur valeur. La morale pourrait donner une contribution importante à la loi en éclaircissant ces normes.
37. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 11
Blahoslav Zbořil

abstract | view |  rights & permissions | cited by
Est-ce que l’on peut trouver dans les idéaux fermés de différentes personnes, sociétés ou nations quelque chose de commun ? Existe-t-il des idéaux humains ? A ces questions, nous répondons : l’idéal humain suprême, c’est la perfection absolue, c’est-à-dire : l’unité dans la pluralité du sentiment de bonheur, joint à la raison unifiée qui comprend parfaitement la réalité, et à la volonté unifiée et libre prête à réaliser et à conserver cette unité.L’idéal nous mène vers le royaume de Dieu ; mais celui-ci n’existe pas réellement. Néanmoins, nos efforts ne restent pas tout à fait sans succès, et la connaissance des idéaux soutient l’idée d’une collaboration des nations et de la paix éternelle.
38. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 11
Emil Utitz

abstract | view |  rights & permissions | cited by
Il y a un conflit entre la règle de la moralité, qui nous commande l’action, et la règle de la perfection. La première est absolue et elle ne tient compte d’aucune circonstance. La seconde implique, au contraire, que soient réalisées des choses qui ne dépendent pas de nous. Le conflit et l’accord possible entre ces deux règles sont étudiés dans cette communication.

généralités

39. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 10
Leo Polak

abstract | view |  rights & permissions | cited by
La communication analyse l’autonomie immanente de la triple raison axiologique, seul fondement et seule source de la logique, de la morale, de l’esthétique.Elle montre ensuite la voie de recherche scientifique qui va de l’expérience ou des phénomènes du jugement de valeur à ses lois universelles et invariables, et jusqu’aux principes aprioriques ou derniers critériums des trois ordres de valeurs en question.Elle y démontre enfin l’impossibilité de toute hétéronomie, soit métaphysique ou théologique, de révélations ou de commandements, soit physique ou biologique, soit sociologique.
40. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 10
Ladislas Tatarkiewicz

abstract | view |  rights & permissions | cited by
L’auteur classe, sous un certain nombre de chefs, l’étude des valeurs, et il montre, à propos de chacun d’eux, les limites de notre savoir et de notre ignorance : valeurs objectives ou subjectives, intrinsèques ou extrinsèques, simples ou composées, classement, hiérarchie, conditionnement et critères des valeurs, conscience immédiate de la valeur, caractère pratique des valeurs, tels sont les différents chefs à propos desquels se posent des problèmes qui n’ont souvent reçu jusqu’ici que des solutions personnelles et divergentes.