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1. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 1
Cleto Carbonara Riflessione e trascendenza in Cartesio: da ll’attualità del pensiero alla sostanza
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La critique spéculative est inconciliable avec le réalisme de la religion et de la science. Les termes de cette antithèse se retrouvent chez Descartes. Le cogito représente, de fait, le moment de la critique qui résout toute réalité dans la pensée, mais qui est en même temps incapable de jeter les fondements d’une construction ontologique ; aussi, quand prévaut, chez Descartes, l’exigence constructive et réaliste, il est contraint de mettre de côté sa première intuition pour poser la réalité de Dieu et de la substance étendue et pensante.
2. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 1
Amato Masnovo L’ascesa a Dio in R. Cartesio ed E. Kant
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Le professeur Masnovo démontre que déjà dans l’agencement du système cartésien la synthèse a priori est implicite : par là, la voie est ouverte à Emmanuel Kant. Mais comme la position cartésienne est illégitime et contradictoire, de même donc est illégitime et contradictoire la position kantienne.
3. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 10
Ugo Redano I giudizi di conoscenza e i giudizi di valore nell’unità della vita spirituale
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Après avoir rappelé les précédents historiques du problème depuis Herbart jusqu’à l’École allemande des valeurs, on montre comment les jugements dits existentiels se réduisent facilement à des jugements cognitifs. Les jugements de valeur en tant qu’ils ne peuvent se passer d’un contenu, impliquent les jugements cognitifs, et ne les excluent pas comme hétérogènes ; ils établissent un rapport entre ce qui est affirmé par un jugement cognitif, selon la nécessité, et ce qui doit être dans un acte de liberté spirituelle. Ils se révèlent comme l’expression la plus adéquate de la spiritualité concrète, qui, dans le monde cognitif de la nécessité, s’exprimait seulement abstraitement et partiellement.
4. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 10
Antonio Banfi Concetto, metodo, problemi di una filosofia della cultura
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La réflexion sur la culture tend à établir un ordre absolu des valeurs et un dogmatisme théorique et pratique. La dialectique, propre à la métaphysique de la culture, se révèle d’une part, dans un relativisme radical (historicisme), d’autre part dans une philosophie pure de la culture, qui est à la fois savoir de l’esprit ou système des lois transcendentales qui la définissent, et de ses aspects phénoménologiques. Ce système est le fondement unitaire de l’intégration et du développement de tous les éléments particuliers de la culture, qu’il rassemble ; il s’intégre en une philosophie de la vie, comme acte de la raison.
5. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 10
Guido della Valle La conoscenza come forma di valutazione
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Évaluation et connaissance ne doivent pas être considérées comme des activités antithétiques de l’esprit, ni ne peuvent être identifiées. Leur rapport réciproque n’est pas l’opposition, ni la coordination, mais plutôt la subordination. Entre les deux, pourtant, c’est l’évaluation qui possède la plus grande généralité. L’évaluation n’est pas une forme de connaissance ; au contraire, la connaissance est un cas particulier de l’évaluation. L’intuition morale, esthétique, politique, religieuse ne peut jamais donner de vérités scientifiques (existentielles), ni théorétiques (logiques). Dans son essence intime, chaque Valeur est un « a priori » et un acte de foi. Ce que nous appelons « connaissance scientifique » (Valeurs existentielles) ou « connaissance logique » (Valeurs de vérité) n’est que cette partie du contenu de notre conscience perceptive (expérience visuelle, acoustique, tactile, etc.), ou aperceptive que nous évaluons positivement, en attribuant réalité, au dehors de la conscience, à certaines données ou relations de la.conscience. L’objet est donc conclu, par argument, d’une analyse de la conscience subjective, ainsi que l’a deviné Descartes.
6. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 3
Virgilio Lazzeroni Albani Il medievalismo di Cartesio
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L’auteur examine les rapports entre la philosophie cartésienne et la pensée médiévale, en rejoignant Descartes au rationalisme chrétien et à l’apriorisme de Duns Scot, comme tentative d’établir une théorie de la connaissance et une logique a priori.
7. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 3
Edilio Chiriotti Slato attuale degli studi cartesiani in Italia
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Partant du réveil des études philosophiques en Italie au début du siècle, on cite les principales traductions et les commentaires italiens des oeuvres de Descartes ; on examine les études cartésiennes dues aux penseurs appartenant au courant idéaliste en Italie, et, après avoir parlé d’un récent commentaire du Discours de la Méthode, on termine par les études cartésiennes du courant néoscolastique de l’Université Catholique de Milan, qui aboutissent au volume de M. Olgiati.
8. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 3
Giorgio Radetti Cartesianesimo e spinozismo nel pensiero del Tschirnhaus
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L’étude de la pensée de Tschirnhaus, soit dans ses lettres à Spinoza, soit dans sa Medicina mentis, peut contribuer à éclairer les rapports de Descartes et de Spinoza. Tschirnhaus, en effet, s’efforce, pour comprendre la philosophie spinoziste, de la traduire en des termes accessibles à la mentalité cartésienne ; il s’ensuit que le rationalisme spinoziste s’exprime, chez Tschirnhaus, en termes foncièrement réalistes.
9. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 4
Ettore Galli Scienza e metodi di conoscenza
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La raison et l’expérience. La logique. Les méthodes logico-mathématiques comme instruments de recherche, non de découverte. L’universalité ; son fondement: l’attente subjective. La raison constate des rapports entre ses objets : ses conclusions doivent être prouvées par l’experience.
10. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 4
Adolfo Levi I rapporti tra la filosofia e la scienza nel pensiero contemporaneo
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L’auteur, après avoir brièvement examiné et discuté le néo-réalisme américain, qui subordonne la philosophie à la science, le logicisme de l’école de Marburg, et l’idéalisme critique de Brunschvicg qui la réduisent à une gnoséologie de la pensée scientifique, et l'idéalisme historiciste de Croce et de Gentile, qui déyalue la science, conclut que la philosophie peut enseigner à la science si eile a la possibilté de saisir la réalité objective, mais qu’elle doit apprendre d’elle à critiquer les principes ou propositions acceptés sans examen suffisant.
11. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 7
Giulio Colesanti Indeterminismo e libero arbitrio
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Le principe de causalité est présupposé. Supposition de causes limitées : déterminisme. Supposition, plus probable, de causes illimitées : indéterminisme : le problème du rapport entre la réalité actuelle et la réalité future comporte une infinité de solutions, et c’est par hasard que l’une ou l’autre prévaut. Possibilité du libre arbitre : le mobile propre de l’homme, et, par là, le mobile de la liberté est l'intérêt théorique. Origine de cette théorie : Descartes, Fouillée, Bergson. Conclusion : la liberté appartient à l’homme en tant que philosophe.
12. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 8
Enrigo Opocher Immanentismo ed eticismo nella Wissenschaftslehre di Fichte
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L’auteur formule le problème des relations entre l’immanentisme et l’éthicisme ; ce problème, selon lui, préoccupe la philosophie idéaliste dans sa phase actuelle et la révision s’en impose ; il examine la solution donnée par Fichte dans sa Wissenschaftsîehre, et conclut que, dans la philosophie de Fichtey non seulement l’immanentisme ne contraste pas avec l’éthicisme, mais que l’immanentisme même devient possible par l’éthicisme qui pose l’Absolu comme Idéal : l’auteur montre ainsi toute l’importance de la philosophie de Fichte pour la révision de la philosophie idéaliste.
13. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 8
Giuseppe Tarozzi La trascendenza e l’infinito
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Liaison de la question de la transcendance dans la connaissance et de la question de l’infini. L’infini comme non spatial et non temporel. L’infini qualitatif. L’être infini en rapport avec le sujet. Le sujet n’est pas seulement connaissance mais être dynamique, ce qui suppose une chose transcendante sur laquelle il agit.
14. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 8
Ugo Fiorentino Trascendenza ed immanenza nella politica
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Le problème de la transcendance ne se pose plus du tout dans la métaphysique (dans les questions de l’âme et de Dieu), mais seulement dans la politique : on montre deux aspects sous lesquels ce problème s’impose au penseur dans des conditions qui le rendent tragique.
15. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 8
Michele Federico Sciacca Come si pone attualmente il problema della trascendenza di Dio
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Éclaircissements sur le titre et les limites de la communication.Le problème de Dieu se pose comme problème cosmologique ou comme problème logico-formel. Le problème de Dieu comme expérience intérieure étant posé, on rejette la chose en soi de l’ancienne métaphysique, mais on critique la prétention de la philosophie moderne de l’immanence, qui veut résoudre toute réalité dans l’activité du sujet, tout en lui reconnaissant le mérite d’avoir montré explicitement que la chose en soi était insoutenable. Nier la chose en soi ne veut pourtant pas dire nier la transcendance de Dieu, mais admettre que Dieu est une réalité présente à notre conscience, en entendant cette présence comme connaissance d’une réalité qui nous dépasse. On conclut que la transcendance de Dieu est le problème de l’expérience intérieure et qu’il se pose comme problème moral.
16. Travaux du IXe Congrès International de Philosophie: Volume > 9
Domenico Antonio Cardone L’anima e il corpo e il problema dell’individualità
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Le problème du rapport de l’âme et du corps appelle celui de la genèse des deux formes hypothétiques de vie, et il ne peut aujourd’hui avoir de solution cohérente qu’en ayant égard à la matérialité comme rythme de fréquence, constituant le comportement actuel et possible de la volonté de vie dans ses déterminations multiples et dans son ascension à travers leurs séries variées. Dans les séries «psychiques » se détermine peu à peu une « division du travail ». Puisque l’individualité est l’initiative, tour à tour répétition et écart, qui réalise tous les types de vie, elle apparaît liée à la réalité concrète qui se scande comme matérialité.